Pages

IST

IST
IST

mercredi 12 septembre 2012

Les papillomavirus

Les papillomavirus

 


Signes possibles : lésions ou petites
verrues (condylomes) sur
les organes génitaux ou l'anus


Apparition des signes :
1 à 8 semaines après
la contamination



Diagnostic :
par frottis et/ou examen médical



Risque de récidive
Complications graves si non traités :

risques de cancer du col de l’utérus ;
atteinte du nouveau-né si la mère
est infectée




                                                                                     Il existe un vaccin recommandé 
chez les jeunes filles
de 14 ans, celles entre 15 et 23 ans n’ayant pas eu
de rapports sexuels ou au plus tard, dans l’année
suivant le premier rapport sexuel.


 Informations interessantes

 Les papillomavirus humains (HPV) sont un groupe de petits virus à ADN se divisant en 2 familles : ceux qui affectent la peau (verrues et molluscum contagiosum) et ceux qui affectent les muqueuses.


Une maladie très fréquente

Les HPV sont répandus dans le monde entier. Les infections à papillomavirus touchent très fréquemment les femmes jeunes. C’est une maladie sexuellement transmissible très répandue.
Les bébés peuvent être infectés par leur mère lors de la naissance, mais c'est très rare.

Les infections muqueuses à papillomavirus sont des maladies sexuellement transmissibles (MST).

Les infections à papillomavirus ne durent généralement que quelques mois : les défenses naturelles de l’organisme suffisent habituellement à les éliminer. 



Ils peuvent atteindre le col de l’utérus et créer une infection


Si l’infection persiste au-delà de 12 à 18 mois, la lésion risque de se transformer en cancer.

En effet, certains types de papillomavirus humains (par exemple HPV16 et HPV18) sont responsables de la plupart des cancers du col de l'utérus.

A contrario chez les femmes non infectées le risque d’apparition de cancer du col de l’utérus est quasiment inexistant.

Le cancer du col de l’utérus est le 2ème cancer le plus fréquent chez la femme dans le monde.


Comment se manifeste une lésion muqueuse due au papillomavirus


Elles varient donc selon le type de virus. Chez l’homme et chez la femme, ils peuvent être responsables de la formation de condylomes génitaux ou condylomes acuminés appelés aussi crêtes de coq ou végétations vénériennes : ce sont des excroissances (un peu comme des grosses verrues) qui poussent au niveau de la vulve, dans le vagin ou autour de l'anus, ainsi que sur le pénis, le scrotum…

Pour en savoir plus sur ces verrues qui peuvent apparaître dans la région vulvaire, regardez cette vidéo :


Sur le col de l'utérus, une lésion due à papillomavirus forme des taches.

La période d’incubation est de 2 à 3 mois. Cette durée est longue, ceci explique pourquoi il est difficile de déterminer parfois avec certitude la personne responsable de la transmission de la maladie.


Le mode de transmission du HPV


Le papillomavirus se transmet le plus fréquemment par contact direct de peau à peau ou de muqueuse à muqueuse lors d'une relation sexuelle.

Les préservatifs diminuent le risque de transmission du virus mais n'empêchent pas le risque de transmission par contact cutané ou cutanéo-muqueux sans pénétration.

Une transmission non sexuelle est aussi possible, par contact indirect avec des objets contaminés (linge de toilette, etc.).

Ne pas confondre avec les verrues situées sur d'autres parties du corps comme les mains, ce ne sont pas des condylomes, elles sont dues à des Papillomavirus de type différent et ne peuvent donc pas se transmettre aux organes génitaux.

Évolution et complications

De nombreuses lésions dues au HPV passent inaperçues et guérissent toutes seules, c’est ce qui explique leur transmissibilité aussi facile. Mais l'immense majorité des cancers du col de l’utérus sont dus à HPV.
Le dépistage du cancer du col est très important, un examen gynécologique périodique avec un frottis cervical est le seul moyen, il est simple et peu coûteux : il permet de découvrir des cancers débutant et de les traiter sans tarder.

Traitement

Les condylomes sont enlevés avec des produits chimiques soit par le médecin, soit par le patient lui-même avec un produit prescrit par un médecin.
Les lésions du col de l’utérus sont traitées par la cryothérapie (application d’azote liquide) par le laser voire par la chirurgie : il est parfois nécessaire d’ôter une partie du col en pratiquant une conisation ; parfois il faut enlever tout le col.
Après le traitement, il se peut que le virus soit toujours présent même si les condylomes ont disparu. Il est donc important de surveiller la réapparition des lésions pendant plusieurs mois après la résection.
D'autres traitements stimulateurs de l'immunité sont actuellement en cours de développement.
Un vaccin (fabriqué par deux laboratoires pharmaceutiques différents) capable de protéger contre certains papillomavirus (en particulier les plus courants responsables du cancer du col ; un des vaccins protège des condylomes) est disponible et remboursé par l'assurance maladie. Ce vaccin est indiqué chez les jeunes filles et jeunes femmes entre 14 et 23 ans (avant leur premier rapport sexuel, ou dans l'année suivant le début de leur vie sexuelle). Même si ce vaccin est efficace, il n'assure pas une protection à 100 %. Et un suivi gynécologique, avec des frottis périodiques, reste recommandé.

A retenir

Un type de papillomavirus est responsable des verrues qui apparaissent sur les mains, ce n’est pas une pathologie préoccupante.
Par contre, un autre type de papillomavirus est responsable de maladies sexuellement transmissibles : les condylomes chez l’homme et la femme atteignant la région des organes génitaux externes ainsi que le col de l’utérus chez la femme. Il est responsable de la plupart des cancers du col de l’utérus. Celui-ci doit impérativement être détecté et traité le plus tôt possible, il aura toutes les chances de guérison.
On conseille fortement aux femmes de subir des examens gynécologiques réguliers au cours desquels sera fait systématiquement un frottis cervical. Ce dépistage est simple et très efficace.
Source :Avis relatif à la vaccination contre les infections à papillomavirus humains des jeunes filles âgées de 14 à 23 ans, 17 décembre 2010. Haut conseil de santé publique.

                                                                                                                                                                        

Les papillomavirus  : (( Questions et réponses))


Qu'est-ce que le VPH?

VPH est l'abréviation du «virus du papillome humain», aussi connu sous le terme «papillomavirus». Dans la majorité des cas, le VPH est transmis par contact sexuel. On estime que c'est la principale infection transmise sexuellement (ITS) aux États-Unis.
Le VPH n'est pas relié au virus d'immunodéficience humaine (VIH).

Comment peut-on contracter le VPH? 

 En clair, par contact sexuel. Il faut le contact direct de peau à peau avec le pénis, scrotum, vagin, vulve, anus, bouche ou une autre partie du corps d'une personne infectée. C'est le mode le plus commun de transmission du virus. Il est possible de transmettre le VPH en embrassant ou en touchant les parties génitales d'un partenaire avec la bouche. Le VPH n'est pas transmis par le sang.

Qui court le risque?  

Le VPH est une infection transmise sexuellement. Quiconque a été actif sur le plan sexuel, ou l'est en ce moment, peut fort bien y avoir été exposé.
Selon les études, les individus aux partenaires nombreux, ainsi que ceux ayant eu des rapports sexuels complets en bas âge, sont les plus vulnérables par rapport au VPH.

Quels sont les signes et les symptômes? 

 Les verrues génitales sont un signe d'infection au VPH. Cependant, dans la plupart des cas, le VPH s'avère une infection «discrète». En d'autres termes, nombreux sont les individus infectés du VPH qui n'exhibent pas de signe évident d'infection.

Comment le VPH affecte-t-il les hommes et les femmes?

Le VPH affecte la région anogénitale tant de l'homme que de la femme. Chez les femmes, ceci comprend la vulve, le col de l'utérus (le passage vers l'utérus) et l'anus. Chez l'homme, cette région inclut le pénis, le scrotum et l'anus. À cause de ces différences physiques dues au genre, le VPH affectera les hommes et les femmes de manière différente.
Chez les femmes, l'infection au VPH peut affecter les cellules du col de l'utérus de la manière suivante :
  • l'infection inactive ou latente, où les cellules affectées demeurent normales. Il n'y a pas de signe ou de symptôme d'infection de telle sorte que vous pouvez bien ne jamais savoir que vous êtes infectée. Votre corps combat le virus d'une manière que l'on ne comprend pas clairement.
  • l'infection active où les cellules cervicales infectées montrent des changements microscopiques. Ces changements anormaux peuvent être décelés à l'aide de frottis cervicaux soit un test (Pap) qui examine au moyen d'un frottis un échantillon des cellules du col de l'utérus.
    Dépendant du type de VPH, l'infection peut évoluer vers l'un ou l'autre des deux extrêmes suivants :
    • Les cellules anormales «se dissipent spontanément», c'est-à-dire que l'infection devient inactive et ne pose plus de problèmes significatifs pour la santé. Une infection inactive peut devenir de nouveau active sans qu'on sache clairement pourquoi.
    • Les cellules cervicales anormales peuvent évoluer lentement vers le cancer du col de l'utérus. Selon les tests, plus de 90 % des femmes affligées du cancer du col de l'utérus ont aussi le VPH.
Tant pour l'homme que pour la femme, le VPH peut affecter la peau de la région génitale en y développant des verrues appelées condylomes. Ces verrues génitales ont l'air d'un petit choufleur, ou bien elles sont plates. Ce sont ces verrues génitales qui ont le moins de chances de conduire au cancer anogénital.
Chez la femme, la verrue génitale peut apparaître autour de l'anus, la vulve ou la cuisse. On la trouve le plus souvent chez l'homme sur le bout et le manche du pénis, sur le scrotum, ou dans la région de l'anus et de la cuisse. Il faudra des recherches additionnelles pour en savoir plus sur l'effet du VPH sur la population mâle.
La plupart des types de VPH sont bénins, c'est-à-dire qu'ils ne causent pas le cancer. On a identifié environ 13 types de VPH qui ont un lien avec différents types de cancers de l'anus, du pénis, de la vulve et du col de l'utérus. De nouvelles recherches révèlent que le VPH pourrait avoir un lien avec certaines formes de cancer du système respiratoire/de l'oesophage ou avec le mélanome.


Comme il y a peu de signes ou de symptômes, comment savoir si on a le VPH? 

Pour beaucoup de femmes, le premier signe d'une infection au VPH proviendra des résultats d'un frottis cervical. Des frottis cervicaux fréquents demeurent essentiels en vue d'assurer une bonne santé ainsi que la détection rapide de cellules anormales.
Les hommes n'étant pas soumis de façon habituelle aux tests du VPH, l'examen de la région génitale devient alors important dans le but de détecter des verrues génitales.

Qu'arrive-t-il en cas de frottis cervical au résultat anormal? 

 Dans le cas où des cellules anormales sont révélées à l'aide du frottis cervical, votre médecin vous suivra de près et il pourrait demander une investigation plus poussée, par example un autre frottis.
Il pourrait aussi vous référer à un spécialiste appelé «colposcopiste» qui examinera les cellules du col de votre utérus à l'aide d'un microscope spécial. On pourrait prélever de petites biopsies dans le col afin d'évaluer le taux d'anormalité cellulaire. Des traitements supplémentaires comme la cryothérapie, l'électrochirurgie ou la chirurgie au laser pourraient s'avérer nécessaires pour éliminer les cellules anormales. Les soins vont dépendre de plusieurs facteurs dont le degré d'anormalité des cellules révélée par le frottis.

 Ai-je besoin d'un frottis si je ne suis pas active sexuellement ou que j'ai une relation monogame?

Les femmes qui ne sont pas en ce moment actives sexuellements ou ayant dépassé l'âge d'avoir des enfants pourraient penser que les frottis réguliers ne sont pas nécessaires. Ceci est faux. Des frottis réguliers doivent continuer parce que le VPH peut s'activer des années après l'acte qui a provoqué l'infection. 
Les femmes ayant une relation monogame peuvent penser que le risque de contracter le VPH est bas. Comme le VPH peut demeurer inactif pendant des mois ou même des années pour ensuite s'activer soudainement sans qu'on sache pourquoi, vous courrez toujours le risque de changement cervical. Il faut continuer les frottis cervicaux pour détecter les changements cellulaires.

 Comment les verrues génitales sont-elles traitées? 

 Les verrues génitales visibles qui causent des symptômes dérangeants ou des préoccupations d'ordre cosmétique peuvent être traitées. Des produits pharmaceutiques peuvent être appliqués soit au cabinet de médecin, soit à la maison. Typiquement, l'éradication de ces verrues requiert plusieurs traitements. Dans les cas d'infection par un nombre élevé de verrues, d'autres méthodes de traitement comme la cryothérapie, l'électrochirurgie, la chirurgie au laser ou la chirurgie pourraient s'avérer nécessaires pour éliminer complètement l'infection au VPH. Enlever les verrues visibles n'élimine pas nécessairement le VPH. Les verrues peuvent réapparaître.

Comment pouvez-vous vous protéger contre le VPH?

Si vous êtes actif sexuellement, le fait d'éviter le contact avec une personne infectée et de limiter le nombre de vos partenaires sexuels peut réduire les risques d'infection.

Le condom peut réduire les chances d'infection au VPH et devrait être utilisé pour prévenir la transmission d'autres ITS comme la chlamydiose génitale et la gonorrhée. Toutefois, dans certains cas (condom canadien), le condom ne peut fournir une protection absolue vu que le VPH se transmet par le contact de peau à peau et que le virus est tellement petit qu'il peut passer à travers le condom.
Le fait de connaître votre partenaire et de discuter ensemble de possibilités d'ITS est important.
Les femmes peuvent se protéger encore plus du VPH au moyen de la détection rapide à l'aide du frottis cervical. Des frottis cervicaux réguliers qui servent à identifier tout changement au niveau des cellules cervicales permet aux médecins de prendre les mesures nécessaires pour la protection de votre santé.
D'autres façons de réduire le risque d'infection au VPH incluent :
  • retarder les rapports sexuels jusqu'à ce que le col de l'utérus soit bien formé (18-19 ans), et
  • s'abstenir de fumer.
Enfin souvenez-vous des principes de base d'une bonne santé personnelle comme l'alimentation saine et la réduction du stress afin de maximiser le système immunitaire et l'état général de bonne santé.

 Comment protéger mon partenaire du VPH si je l'ai?

Toute relation intime et confiante repose sur la communication claire et ouverte entre les partenaires. Le fait d'informer votre partenaire que vous êtes infectée au VPH lui montre que vous avez sa santé à coeur et que vous respectez ses sentiments. 
Le fait de révéler peut accroître le lien émotif entre vous deux tout en éliminant les fausses croyances ou la fausse information.
Le condom peut réduire le risque de transmission tout en protégeant contre d'autres MTS, telles la chlamydiose génitale et la gonorrhée.

Est-ce que l'apparition du VPH est un signe d'infidélité?

  Il est important de savoir que des changements généraux dans l'état de santé peuvent faire en sorte qu'une infection latente peut passer à l'état actif. Un diagnostic récent de VPH ou de verrues génitales ne signifie pas qu'il y a eu infidélité - l'infection a pu se faire des années auparavant et n'est devenue active et décelable que plus tard. Les verrues génitales peuvent apparaître dans une période variant de quelques semaines à plusieurs années après le contact avec une personne infectée.

 Combien de personnes au Canada ont le VPH ? Quelle est l'ampleur du problème?

Pendant longtemps il n'y a pas eu d'étude sur l'étendue du VPH au Canada. Toutefois, des études de prévalence du VPH ont été menées récemment. Elles ont estimé la prévalence, toutes souches de VPH confondues (causant et ne causant pas le cancer), à 20 % à 33 % de la population féminine.
Pour les seules souches pouvant causer le cancer, le taux est de 11 % à 25 % de la population féminine. Un des groupes à risque éléve infecté par le VPH avait un taux de prévelance de 49 % du VPH qui cause le cancer
Il est important de rappeler que seulement une partie de ces femmes vont développer les signes avant-coureurs du cancer du col de l'utérus. On dispose de peu d'études sur la prévalence du VPH chez les hommes. Il faudra plus de recherche sur l'étendue du VPH au sein de la population canadienne, ainsi que des études sur la façon dont le virus affecte les hommes.

 Y a-t-il lieu de s'inquiéter? 

 Bien que le VPH apparaisse comme un nouveau virus, ce n'est pas le cas. De la centaine de souches de VPH identifiées, seules quelques-unes ont un lien avec le cancer du col de l'utérus. Bien se renseigner sur le VPH, limiter ses partenaires sexuels et avoir recours régulièrement au frottis cervical constituent les meilleures défenses contre le VPH.

 Le fait d'avoir le VPH réduit-il mes chances d'avoir des enfants dans l'avenir?

Le VPH n'affecte pas la capacité d'une femme d'avoir des enfants. Pour une femme qui a le type de VPH qui donne des verrues génitales, il est possible que ces verrues grossissent durant la grossesse en raison d'une hausse des niveaux d'hormones.
On a vu des cas où des femmes ont transmis le VPH au nouveau-né sous forme de papillome du larynx, ou bien des verrues dans la gorge, mais c'est très rare.

Que fait Santé Canada au sujet du VPH?

Santé Canada participe activement aux initiatives suivantes pour arriver à mieux comprendre le VPH et assurer des soins de santé efficaces et efficients.
  • L'établissement d'un groupe de travail sur le VPH qui a pour mandat de produire et échanger de l'information sur le VPH au Canada et de coordonner les efforts de surveillance et de recherche sur le VPH.
  • La réalisation de recherches sur la prévalence du VPH au Canada et la mise au point des lignes directrices concernant sa prévention.
  • Des campagnes de sensibilisation du public afin d'augmenter le recours au frottis cervical dans le but d'augmenter la détection chez les femmes.

 Que fait-on pour réduire le VPH ?

  En ce moment, la recherche pharmaceutique tente de mettre au point un vaccin contre le VPH. Bien qu'on note un certain progrès, on ne dispose pas à ce jour de vaccin pour la population en général .



2 commentaires:

  1. Indépendamment des thérapies de dépôt injectables orales ou futures, elles nécessitent des visites médicales afin de prendre des médicaments et de surveiller la sécurité et l’intervention. Si les patients sont traités suffisamment tôt, avant que le système immunitaire ne soit gravement endommagé, l'espérance de vie est proche de la normale tant que le traitement est réussi. Cependant, lorsque les patients arrêtent le traitement, le virus rebondit à des niveaux élevés chez la plupart des patients, parfois associés à une maladie grave parce que j’ai vécu cela et même à un risque accru de décès. Le but de «guérir» est en cours, mais je crois toujours que mon gouvernement a fabriqué des millions de médicaments antirétroviraux au lieu de trouver un traitement. pour le traitement et la surveillance en cours. Les ARV seuls ne peuvent pas guérir le VIH, car parmi les cellules infectées se trouvent des cellules de mémoire CD4 à très longue durée de vie et éventuellement d'autres cellules qui agissent comme des réservoirs à long terme. Le VIH peut se cacher dans ces cellules sans que le système immunitaire du corps ne le détecte. Par conséquent, même lorsque le traitement antirétroviral bloque complètement les cycles d'infection ultérieurs de cellules, les réservoirs qui ont été infectés avant le début du traitement persistent et le VIH rebondit si le traitement est interrompu. «Cure» peut signifier une guérison par éradication, ce qui signifie débarrasser complètement le corps du virus réservoir ou une guérison fonctionnelle du VIH, où le VIH peut rester dans les cellules du réservoir mais le rebond à des niveaux élevés est empêché après une interruption du traitement.Dr Itua Herbal Medicine me permet croit qu'il existe un espoir pour les personnes atteintes de la maladie de Parkinson, de la schizophrénie, du cancer du poumon, du cancer du sein, du lupus, de la maladie de Lymne, du psoriasis, du cancer colo-rectal, du cancer du sang, de la prostate, siva.Facteur familial familier V, mutation de Leiden, épilepsie Maladie de Dupuytren, tumeur Desmoplastique à petites cellules rondes Diabète, maladie cœliaque, maladie de Creutzfeldt – Jakob, angiopathie amyloïde cérébrale, ataxie, arthrite, scoliose latérale amyotrophique, tumeur cérébrale, fibromyalgie, toxicité de la fluoroquinolone
    Syndrome Fibrodysplasie osseuse ProgrèsSclérose, maladie d'Alzheimer, carcinome corticosurrénalien Mononucléose infectieuse. .Asthme, Maladies allergiques.Hiv_Aids, Herpe, Copd, Glaucome., Cataractes, Dégénérescence maculaire, Maladie cardiovasculaire, Maladie du poumon.Augmentation de la prostate, Ostéoporose.Alzheimer,
    Démence (rougeole, tétanos, coqueluche, tuberculose, poliomyélite et diphtérie), diarrhée chronique,
    HPV, Tous types de cancer, diabète, hépatite, j'ai lu sur lui en ligne comment il guérissait Tasha et Tara, je l'ai donc contacté à l'adresse drituaherbalcenter@gmail.com /. même parlé sur whatsapps +2348149277967 croyez-moi, il était facile j'ai bu son médicament à base de plantes pendant deux semaines et j'ai été guéri juste comme ça, le Dr Itua n'est-il pas un homme étonnant? Oui il l'est! Je le remercie beaucoup et je vous conseillerai donc si vous souffrez de l'une de ces maladies. Veuillez le contacter, c'est un homme bien.

    RépondreSupprimer
  2. Témoignage de traitement d'herpès
    Je suis ici pour témoigner du bon travail du docteur Ahmed Usman. Auparavant victime du virus de l'herpès avec de nombreuses épidémies sur mon corps, j'ai été guéri du virus grâce à l'aide de Ahmed Usman et de son excellent médicament à base de plantes qui est très actif en 21 jours avec mon résultat de l'herpès négatif, il est très actif et ça coûte moins cher. Les médecins ont confirmé que le virus n'était plus sur mon sang. Vous aussi, vous pouvez être guéri, contactez-le sur son email officiel; drahmedusman5104@gmail.com. Il guérit le VIH, le diabète, le cancer, les fibromes, les articulations douloureuses, l'hépatite, les maladies cardiaques et les maladies du foie.

    RépondreSupprimer